Acte de piraterie caractérisée, commis à l’encontre d’une flottille humanitaire dans les eaux internationales, cette attaque meurtrière a bafoué une fois de plus les droits des 1 million et 400’000 habitants de Gaza. Les citoyens de dizaines de pays ont tenté en vain d’apporter des vivres, des médicaments, des jouets, du matériel scolaire – 10'000 tonnes en tout – à une population accusée d’avoir « mal voté ».
Occupés avec leur plus grande catastrophe écologique, les États Unies n’ont ni le temps, ni l’envie d’accourir une fois de plus pour essayer de sauver la face de criminels de guerre égoïstes et irascibles.
L’intention annoncé d’alléger le blocus sur Gaza arrive bien trop tard !
La patience de tous les gouvernements de la planète a des limites. Un peuple qui n’a cessé de se lamenter des injustices commises à leur égard dans un passé relativement récent, qui crie à l’antisémitisme à chaque déclaration maladroite, oublie qu’à vouloir exterminer jusqu’au dernier des palestiniens, il devient lui-même antisémite. Faudrait-il le rappeler qu’ils ont la même origine ?
Et ce n’est pas en accusant l’Iran de vouloir acquérir la bombe nucléaire qu’ils feront oublier qu’ils l’ont déjà, acquise de façon non moins illégitime. De tous les possesseurs de l’arme de destruction absolue, le gouvernement d’occupation de la Palestine est le plus susceptible de l’utiliser… en tant que peuple ayant perpétrer le premier suicide collective de l’histoire de l’humanité, ils ont déjà prouvé qu’ils en étaient capables de se sacrifier eux-mêmes, femmes et enfants compris… alors même que des psychopathes notoires tel Kim Jong-il ne s’arrogeraient jamais le droit de l’utiliser.
Quel serait la limite à ne pas franchir ? Il faudra bien, un jour, que quelqu’un finisse par se rendre compte et qu’assume enfin ses responsabilités envers tous les êtres humains, à commencer par les palestiniens.